mercredi 27 juin 2012

Le voyage au pays des Kamis - Spectacle de fin d'année de l'Ecole de Musique de Wattignies


Un conte musical de Benjamin Chalat

Inspiré par les films de Hayao Miyazaki
et les musiques de Joe Hisaishi













INTEGRALITE DU SPECTACLE
Caméra sur pied







EXTRAITS
Caméra à main
Meilleur vision notamment pour la scène des automates










L'école de musique en terre nippone

PUBLIÉ LE 05/07/2012
Par La Voix du Nord

La semaine dernière, les élèves de l'école de musique de Wattignies ont évidemment


fêté la fin de l'année en musique. Mais pas que. En effet, ils ont interprété le Voyage au pays des kamis, un spectacle inspiré de films d'animation, devant plus de 430 spectateurs. Un grand moment puisque pour les apprentis-musiciens, le spectacle qui précède les vacances se fait forcément en rythme et en cadence.
Jean-Christophe Boux, le directeur de l'école municipale, souligne : « C'est Benjamin Chalat qui a écrit réalisé, mis en scène le spectacle et préparé le montage vidéo de la soirée. Il a porté le projet autour du Japon et plus particulièrement de Joe Hisaishi et Hayao Miyazaki. » Les musiques du premier, chef d'orchestre, pianiste, et parolier japonais, ont été ré-orchestrées afin de convenir pour les différentes formations présentes sur scène. Quant à Miyazaki, le Walt Disney de l'Orient, il évoque la relation de l'homme à la nature et à la technologie.


Un don pour les victimes du tsunami

Le directeur ajoute par ailleurs que « nous avons bénéficié d'un partenariat avec Galatée danse et l'école municipale d'arts plastiques. En effet, quelques danseuses nous ont offert plusieurs ballets. Quant aux élèves de Martine Caytan, ils ont participé à la création de décors avec Anne -France Dumoulin et Marie Tytgat qui ont aussi créé les costumes. » L'Harmonie Sainte-Cécile a, elle, donné le coup d'envoi, et « des représentants de l'école de japonais de La Madeleine sont venus donner quelques cours afin que la prononciation soit parfaite ».
Environ 150 musiciens de l'école (qui en compte 190) ont interprété le Voyage au pays des kamis, ces esprits du shintoïsme qui habitent toutes choses et peuplent tous les lieux. Pendant l'entracte, les spectateurs ont eu l'agréable surprise de se faire transcrire leur prénom en écriture japonaise. Les bénéfices des ventes des boissons seront reversés aux victimes japonaises du tsunami.


mardi 19 juin 2012

Les jeunes de Camus chantent Jazzimi


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ROUBAIX / THÉÂTRE PIERRE DE ROUBAIX

Les jeunes de Camus chantent Jazzimi


Les 75 élèves de l'école Camus ont joué avec un peu d'appréhension «Jazzimi».
Trois classes de l'école Camus ont joué un opéra pour enfants, ce mardi soir, au théâtre Pierre de Roubaix. Une réussite ! JEAN VERGNOLE > Correspondant local En partenariat avec le conservatoire de Roubaix et l'Éducation nationale, l'école Camus compte trois classes CHAM (classes à horaires aménagés musicales).
Ces classes permettent aux élèves particulièrement motivés par la musique de recevoir un enseignement complémentaire à l'enseignement général, dispensé par des professeurs du conservatoire de Roubaix. L'envie a été donnée à trois autres classes non musicales de CE2 et CM1 de faire un projet d'opéra pour enfants. Avec l'aide d'une professeur des écoles passionnée de musique, Audrey Thomas, les 75 élèves ont monté ce projet. 
Durant plusieurs mois, en supplément du travail scolaire, ils ont travaillé sur un opéra pour enfants : Jazzimi. 
C'est mardi soir qu'ils ont montré à leurs parents l'aboutissement de leur projet. Ils sont apparus sur scène avec une certaine anxiété pour interpréter Jazzimi.

Les choeurs d'enfants ont été accompagnés par les musiciens du conservatoire de Roubaix, dirigés par M. Brisse.

Les chanteurs de demain ?

Jazzimi raconte l'histoire d'un petit garçon qui rêve une nuit d'une superbe mélodie dont il est incapable de se souvenir le lendemain matin. Heureusement une fée nommée Harmonie va venir à son secours, elle va l'emmener vers différents courants musicaux comme le blues, la valse, la musique orientale, la musique africaine et bien d'autres encore. 
Les parents ont été agréablement surpris de voir leurs enfants en acteurs et chanteurs. Peut-être les futurs grands acteurs de demain.

samedi 16 juin 2012

Concert d'Esprit Jazz - Soirée cabaret






La soirée cabaret d'Esprit Jazz pour changer des concerts classiques


PUBLIÉ LE 23/06/2012






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| SANTES |
Plusieurs fois par an, et cette fois-ci quelques jours avant la fête de la Musique, la formation musicale Esprit Jazz

avant la fête de la Musique, la formation musicale Esprit Jazz... de swing ! Jean-Christophe Petit, le directeur de l'orchestre Esprit Jazz est à l'initiative du ... Aznavour, Vieille canaille de Serge Gainsbourg devant près de deux cents spectateurs. 
Côté scène, les plantes vertes apportaient une touche supplémentaire au décor de fête qu'Esprit Jazz voulait donner.






GALERIE PHOTOS Cliquez ici







samedi 9 juin 2012

La fête de l'école de musique




La fête de l'école de musique







Les élèves de l'orchestre des jeunes ont joué en groupe ou en solo, samedi, devant une centaine de personnes, pour la fête de l'école de musique, en attendant la remise de quarante diplômes. L'école, située au 2, rue Koenig, accepte les élèves âgés de 7 ans ou plus. Le vétéran a 82 ans ! On retrouvera les musiciens lors de la fête de la Musique le 21 juin, dès 19 heures, dans les rues de la ville.

vendredi 8 juin 2012

La fête de la Musique à la résidence les Blés d'Or


La fête de la Musique à la résidence les Blés d'Or




célébrée à l'avance, à la résidence Les Blés d'Or. Selon Magali Pezin, la directrice, « une personne âgée ... Blésd'Or. •  SANTES ... résidence les Blés d'Or Santes ...

dimanche 3 juin 2012

Animation musicale en quatuor de saxophone - Vernissage à "La plus petite galerie du monde"


Karine Oupas : Mouvement cyclope

Photographie.
Vernissage le Dimanche 3 juin 2012 à partir de 11 h 30. 

L’invité de l’invitée* : Mr R., gravures

L’animation musicale sera assurée par Boumt Hersina



Comment définir sans finir ? 

Nous sommes devant une photographie de la durée, le temps d’un commencement qui se prolonge, le temps d’une disparition sensuelle du corps qui s’évapore avant de se recondenser, plus tard, à froid, dans nos mémoires.

La photographie de Karine Oupas n’est donc pas une affaire de cadre. 

Karine Oupas traverse spontanément ses photographies en volutes, autoportraits d’une autre transformés par le mouvement et la lumière qui la mord. 
Elle est aussi photographe animal, errant sur son territoire.

Fabrice Poiteaux, Commisssaire de l’exposition